Double faute tennis : éviter et corriger

La double faute tennis se produit lorsqu’un serveur manque ses deux tentatives de mise en jeu au cours d’un même point.

La première balle peut être trop longue, trop courte ou hors du carré de service à cause d’une erreur de trajectoire (faute directe) ou d’un mauvais positionnement du pied (faute de pied).

Lorsque la seconde balle, censée être plus “sûre”, échoue elle aussi à trouver sa cible, le point est perdu sans même que l’adversaire n’ait à renvoyer la balle. Cette sanction immédiate instaure une double rupture : technique et psychologique.

Même au sommet du tennis mondial, la double faute demeure un facteur imprévisible et souvent décisif. Les études statistiques montrent qu’un joueur de l’ATP ou de la WTA enregistre en moyenne entre 2 et 4 doubles fautes par match.

Ce taux peut largement dépasser ces chiffres dans les moments de haute tension.

Balle de break, fin de set, tie-break : autant de situations où la pression mentale se fait écrasante, et où la volonté de frapper fort cherche à compenser un stress trop présent, générant un excès de puissance ou un geste précipité.

• Pression psychologique : la crainte de démarrer un point par un échec incite le serveur à forcer son geste sur la seconde balle, au détriment du contrôle.
• Irrégularité du lancer de balle : un toss trop haut ou trop bas modifie la trajectoire du bras et la synchronisation entre l’impulsion et la frappe.
• Sur-correction technique : après la première erreur, certains joueurs ajustent trop brutalement leur prise, l’ouverture d’épaule ou l’angle de raquette, compromettant la fluidité du mouvement.
• Fatigue physique : en fin de match, l’épuisement musculaire altère l’équilibre, la stabilité des appuis et la précision du geste.

• Pression psychologique : la crainte de démarrer un point par un échec incite le serveur à forcer son geste sur la seconde balle, au détriment du contrôle.
• Irrégularité du lancer de balle : un toss trop haut ou trop bas modifie la trajectoire du bras et la synchronisation entre l’impulsion et la frappe.
• Sur-correction technique : après la première erreur, certains joueurs ajustent trop brutalement leur prise, l’ouverture d’épaule ou l’angle de raquette, compromettant la fluidité du mouvement.
• Fatigue physique : en fin de match, l’épuisement musculaire altère l’équilibre, la stabilité des appuis et la précision du geste.